Participants au premier congrès mondial rom, tenu à Londres en 1971, chantant l’hymne « Gelem, gelem » (dont les paroles ont été écrites par Jarko Jovanović revêtu, sur la photo, d’un manteau blanc). Jan Čibula (à l’extrême gauche) deviendra le premier président de l’Union rom internationale et Grattan Puxon (à l’extrême droite) jouera un rôle de premier plan pendant le deuxième congrès. Walsall, 1971. Derrière (à gauche et à droite), on distingue Ladislav Demeter, Vanko Rouda et Juan de Dios Ramirez.

CONGRES DE LONDRES 1971 

Le 8 avril 1971 a été une journée marquante pour les Rroms du monde entier, car c'est le jour où le premier Congrès international des Rroms s'est réuni à Londres. Cet événement historique a donné naissance à l'Union Romani Internationale, une organisation qui œuvre depuis lors à la défense des droits des Rroms et à la promotion de leur culture.

Le congrès a réuni des représentants Rroms de toute l'Europe, ainsi d'autres parties du monde, pour discuter des problèmes communs auxquels ils étaient confrontés et pour élaborer des stratégies pour y remédier. Parmi les questions les plus importantes discutées figuraient la discrimination, la pauvreté, l'éducation, aux soins de santé et l'accès à l'emploi. Les participants au congrès ont également travaillé à élaborer une charte commune qui définirait les droits fondamentaux des Rroms.

La création de l'Union Romani Internationale a été un tournant majeur dans l'histoire du peuple rom. Pour la première fois, elle a donné aux Rroms une voix plus forte et unie sur la scène internationale et a contribué à sensibiliser davantage à leurs problèmes. L'Union Romani Internationale a joué un rôle essentiel dans la promotion des droits des Rroms et dans la lutte contre la discrimination à leur encontre, elle a été une étape importante dans le mouvement rom pour les droits civiques. L'organisation a joué un rôle essentiel dans la sensibilisation aux problèmes des Rroms et dans la promotion de leur inclusion dans la société. Elle continue de jouer un rôle important dans la défense des droits des Rroms et la promotion de leur culture à ce jour. Elle est encore une voix importante pour les Rroms du monde entier.

Voici quelques-uns des faits marquants du Congrès international des Rroms de 1971 :

Le congrès a réuni des Rroms de plus de 20 pays.

Il a été le premier événement international à réunir des Rroms de toute l'Europe et d'autres parties du monde.

Le congrès a abouti à la création de l'Union Romani Internationale.

La plate-forme adoptée par le congrès a jeté les bases du mouvement des droits des Rroms.

Le Congrès international des Rroms de 1971 a été un événement important pour le peuple Rrom. Il a marqué le début d'un nouveau mouvement pour les droits des Rroms qui continue de se battre pour la justice et l'égalité pour les Rroms du monde entier.

 

Voici quelques-uns des résultats concrets obtenus par l'Union Romani Internationale au cours des années :

Promotion de la reconnaissance des Rroms en tant que minorité ethnique.

Lutte contre la discrimination et la haine anti-Rroms.

Défense des droits des Rroms en matière d'éducation, de santé et d'emploi.

Préservation de la culture et de la langue Rroms.

L'Union Romani Internationale continue d'être une organisation importante pour les Rroms du monde entier. Elle continue de défendre leurs droits et de promouvoir leur culture.

 

Londres 1971

Participants au premier congrès mondial rom, tenu à Londres en 1971, chantant l’hymne « Gelem, gelem » (dont les paroles ont été écrites par Jarko Jovanović) et derrière Jarko il y à Vanko Rouda.

Yul BRUNER

Participation de l'acteur mondialement connu Yul BRUNER dont la mère était Rroms au débat et la création de lIRU            (Intenaional Rromani  Union)

Lucillius debitis

Le 4e Congrès mondial des Roms à Serock, en Pologne, est surtout connu pour la déclaration officielle du 8 avril comme Journée internationale des Roms. Cette date a été choisie pour honorer la première réunion du Congrès mondial rom en 1971. L'événement a rassemblé 250 délégués du monde entier. Les sujets abordés lors du congrès comprenaient, entre autres : la nécessité d'une encyclopédie en langue romani, les relations publiques des minorités et les réparations de la Seconde Guerre mondiale. Sur la photo, de gauche à droite : Sait Balić, Marcel Courthiade, Rajko Djurić, Weer Rajendra Rishi, Ian Hancock et Stanislaw Stankiewicz.

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